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Tableau de bord d'un DA40 en vol de nuit au dessus de Marseille

Conditions préalables à la formation CB-IR

-  PPL EASA

-  Qualification volde nuit 

-  50 heures de PIC cross-country

-  FCL.055 IR Anglais

Et bien sûr le théorique CB-IR ou le théorique ATPL.

La bonne nouvelle d'abord c’est que vous pourrez préparer l’examen théorique du CB-IR en distanciel. Sur les 80 H de formation règlementaires, 10% doivent être réalisées en présentiel et certaines formations en visio sont approuvées pour ça.

 

Minisky n’assure pas de formation théorique en vue de l’examen théorique CB-IR. Vous pourrez les suivre en Français (Mermoz) ou en Anglais (Bristol) et passer vos examens en Français ou en Anglais.

 

Cependant passer le théorique n’est pas très exaltant et il faut une bonne dose de motivation pour s’y atteler. C’est pourquoi je vous recommande de commencer par le théorique avant de commencer les vols.

 

L’inconvénient de passer le théorique d’abord, c’est que les concepts que vous aborderez seront, eh bien… très théoriques. Il n’y aura pas l’effet « Whaoo, c’est comme ça que ça marche dans l’avion. »

 

Même si vous prenez le cours à distance au sérieux, que vous prenez des notes, faites des recherches approfondies sur certains sujets et que vous parvenez à tout comprendre en profondeur, ce sera une très bonne chose, mais vous échouerez probablement quand même aux examens en absence de préparation spécifique aux banques de questions d’examen en QCM.

 

En tant que formateur au vol aux instruments, je suis toujours disponible pour accompagner mes stagiaires pendant leur formation théorique. Il y a de nombreux points à discuter et bien des éclairages à apporter, mais ça ne suffit pas toujours pour garantir la réussite aux examens.

 

Les examens reposent en effet sur des milliers de QCM dont la pertinence où l’intérêt ne sont pas évident à la première lecture. Il y aurait bien d’autres moyens pour vérifier que vous avez acquis un niveau de connaissance suffisant par rapport aux objectifs fixés par l'EASA, mais dans la réalité c’est la réussite à ces QCM qui va déterminer votre aptitude.

 

D’un point de vue pédagogique, cliquer encore et encore sur des banques de question est pratiquement inutile, mais c’est ainsi que le système est fait. Vous devrez prévoir pas mal de temps pour répéter ces exercices jusqu'à atteindre les résultats escomptés pour pouvoir vous présenter à l’examen avec de bonnes chances de réussite.

 

Pour vous y aider vous utiliserez des banques de question en ligne comme Aviationexam.

D’un autre côté, la formation pratique est vraiment stimulante. On rentre dans les nuages, on s’oriente uniquement avec les instruments et on, découvre énormément de nouveautés dans un monde qu’on croyait connaitre. Autrement dit les 30 heures hors ATO vont être vite planifiées et consommées. Et si vous avez commencé de voler avant d’avoir réussi votre théorique, ces heures de vol et de briefing empièteront sur le temps que vous auriez dû consacrer au théorique…

 

Une fois le théorique en poche, et que vous pourrez commencer à voler il faudra encore passer quelques heures ensemble à répéter et expliquer les concepts théoriques et y ajouter les détails pratiques indispensables à la préparation et au suivi du vol.

Nuages d'orage vus en vol
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